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C'est le moment crépusculaire
J'admire, assis à une terrasse,
Ce reste de jour dont s'éclaire
Cette longue journée qui trépasse.
Dans la ville de nuit baignée,
Je contemple, ému, le blouson
D'un motard qui tourne la poignée
De sa Norton en pâmoison.
Sa haute silhouette noire
Domine le réservoir d'alu.
On sait à quel point il doit croire
Que la Commando pousse velu.
Il pèse sur la tige de métal,
S'arc-boute encore et encore,
Marque une pause, maudite pédale.
J'observe le divin corps à corps
Pendant que, déployant ses ailes
Le twin déchaîne sa fureur,
Et récompense avec quel zèle,
Le geste auguste du kickeur.
Merci à Victor H. pour sa précieuse collaboration.
Comme quoi les motocyclistes mènent à Hugo...
RépondreSupprimerIl est juste dommage qu'il y ait un double "que" dans la dernière partie, à moins que ce ne soit l'effet Twin... ;o)
L.
Ah que coucou... Heureusement qu'il y a de bonnes âmes pour mettre le doigt là où ça ne va pas...
RépondreSupprimerMais après modif, voilà que la mise en page délire de son propre chef. :-(((
Ouais enfin des fois faut faire gaffe où on met le doigt...
SupprimerAllez zoubis!
L.